Sur ce sujet, deux aspects devront être traités :
- est-ce souhaitable ?
- est-ce possible ?
Paradoxalement la deuxième question est certainement la plus simple à traiter et on commencera donc par celle-ci. Le schéma proposer serait de ne rien brusquer, conformément à notre orientation générale libérale et démocratique.
Dévoilons tout-de-suite ce que pourrait être la solution, à charge pour les deux volets de la discuter et de donner leur vision opérationnelle : ajouter l’esperanto comme langue de travail de l’Union Européenne au même titre que les 3 autres langues actuelles (anglais, français et allemand), puis, au bout de 5-10 ans par exemple, la rendre langue de référence. A un terme plus lointain, peut-être 10-20 ans, la conserver comme seule langue de travail.
Comme ceci va heurter les esprits (toujours notre vieux fond de craintes et de conservatisme), il faudra ensuite étudier les avantages et les inconvénients d’un tel système, pour, au final, faire une proposition commune entre les deux volets.
La convergence sera certainement assez facile et, en tout cas, elle sera indispensable, car il nous faudra subir tous les ricanements et surtout les doctes avis des « experts », vous savez, ceux qui n’ont jamais rien fait parce qu’ils savent bien que tout est impossible. L’expertise comme support de l’immobilisme !