Autrement dit, soyons critiques, très critiques,… mais constructifs.
Sans critique de l’existant il ne peut y avoir amélioration et progrès. Il faut même être très critique, car, à trop affadir l’expression, on ne sait plus si on argumente pour maintenir ou pour réformer.
Mais les critiques contre les électeurs, les politiques, les entreprises, les administrations, les citoyens, les médias,…, si elles ne sont pas accompagnées de propositions de réforme positive, ne sont qu’une entreprise de démoralisation.
Dès qu’on formule une critique, il faut tracer des pistes de solution innovantes, réalistes et souhaitables.