Remarque liminaire et cadre général de la thématique

C’est quand on aborde le thème du fonctionnement de l’État et de son coût que les divergences entre nos deux approches (gauche et droite) seront certainement les plus marquées.

A gauche, nous préférerons mettre l’accent sur la solidarité et les investissements matériels et humains, quand, à droite, nous serons plus centrés sur sa performance et la réduction des coûts.

Mais il n’est pas impensable que, au final, les positions se rapprochent, chaque partie intégrant des propositions de l’autre.

Un premier constat nous réunit : l’État n’est pas assez social et efficace. Il gaspille souvent ses ressources dans des non-valeurs, au premier desquels la sur-réglementation.

Comment faire plus de social tout en étant plus économe en ressources, c’est dans cette direction que nous travaillerons, aussi bien dans le volet gauche que dans le volet droit.

Ce devra être une réflexion à la fois très innovante et aussi très approfondie.

Si tous les gouvernants et appareils politiques (gauche comme droite) n’ont pas réussi dans le passé, ce ne peut être une question d’incompétence.C’est plutôt l’effet d’une volonté peu affirmée, d’une crainte du changement et d’une réflexion trop superficielle.

Dit autrement, si on ne réforme pas profondément et de façon innovante, il y a fort à penser qu’on n’arrivera ni à réduire les coûts, ni à être plus social (réduire les inégalités et la pauvreté).

Mais réformer profondément sans bien étudier toutes les implications et les risques, est potentiellement dangereux. Il faut « cent fois sur le métier remettre l’ouvrage », afin que le nouveau cadre fonctionne… et bien mieux que l’ancien.

Nous sommes des réformateurs radicaux, ni des boute-feux, ni des extrémistes !

 

Grandes lignes proposées pour la réflexion

 

 


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